Le périple ne fut pas pour aller jusqu'à JAWS, vu que la très charmante Carine Camboulives m'y driva sans difficulté, mais bien pour revenir, de nuit, sous la pluie, humide jusqu'aux os, dans la boue, sans 4x4, sans connaître le chemin...
Effectivement, arrivé sur place à 14h, le vent n'est pas encore établit et les surfeurs règnent, à 15h il se met à pleuvoir, et il pleuvra sans discontinuer jusqu' à 18 h. Autant dire que quand les windsurfeurs se mettent à l'eau, vers 16h, tout le monde est déja bien trempé et la lumière déclinante ne permettra pas d'imortaliser l'exploit.
Pas de morts à déclarer à ce jour, à noter 2 ou 3 beaux wipe-out en surf. A noter également que les surfeurs sont nettements mieux organisé que les windsurfeurs. Dès qu'un surfeur tombe, ni une ni deux, 4 jets se ruent sur lui. Albeau, le seul à s'être pris une boîte en windsurf, a nagé 15 minutes après son matos sans personne pour s'inquiéter pour lui...
D'autres photos dès demain, après un petit passage par photoshop pour les lignes d'horizons sinon y 'en a qui vont critiquer.
Alors c'est impressionnant en vrai ?
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